Huit au revoir et trois messages
Voici une nouvelle qui me permit de remporter un concours à Châtelaillon-Plage…. en 2011 déjà ! Il fallait commencer l’histoire par cet extrait de “L’amant” de Marguerite Duras.
« Au bout de la rue, cette lumière jaune des lampes tempête, cette joie, ces appels, ces chants, ces rires, c’est en effet le fleuve. Le Mékong. C’est un village de jonques. C’est le commencement du delta. De la fin du Fleuve. »
Le silence s’installa dans la classe. Le professeur referma violemment le livre pour éventuellement sortir de leur rêve ceux qui s’étaient laissés bercer par sa lecture et ceux qui ne l’avaient pas écouté.
- Alors, que fait Marguerite Duras avec ce dernier passage ?
Une mouche vola, poursuivie assidument par un ange.
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